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mardi 19 juillet 2011

WIP - SpaceShip One

Bon retour aux choses sérieuses, je profite de mes congés pour attaquer un kit résine qui je le sens va me donner du fil à retordre et générer du copeau dans le bureau.

Ce kit était fourni, en série assez limitée compte tenu de la durée de vie des outillages, par Unicrafts Models;
Ce fabricant offre des modèles toujours assez exotiques, toujours sur des modèles curieux, parfois demeurés au stade des projets.
Lorsque je me suis décidé pour l'acheter, mon interlocuteur ne souhaitait pas m'en vendre, car les outillages  étaient 'fatigués' et la qualité du kit s'en ressentirait. C'est honnête de sa part. J'ai insisté un chouilla (je n'ai pas trouvé ailleurs à cette époque et je voulais absolument ce kit, qui traite d'un avion pour le moins historique et qui relève pour moi de la légende de l'aviation et de ses pionniers, mais de l'ére moderne), et il a finalement expédié un kit, avec un discount comme je le disais.  Je refais un peu de pub parce que il offre des choses un peu différentes, et on y trouve quelques bonnes surprises. J'ai l'impression qu'il a refait une série car le SS1 est présenté comme disponible et la qualité des moulages vu sur le site semble meilleure que le mien, et l'aspect de la résine semble plus claire et plus brillant. Mais bon....on en a déjà un ;)

On a tous les éléments pour faire un SS1 avec son porteur White Knight, au 1/72e, ce qui fera un bel albatros.



Effectivement, le kit est limite au niveau des détails, les rainurages ont quasi disparu (en tout cas les plus fins), la résine est assez bizarre, propre et sans bulle, mais on la sent très fragile et cassante.  


 Vu la qualité des éléments, j'opterais sans doute pour une configuration en vol, train rentré. Le problème alors sera le support  à mettre en place. La bête devrait faire environ 40 cm d'envergure ! Dans ce cas, voila la configuration qu'il aurait:



Comme il faut commencer par quelque chose (!), j'ai attaqué le fuselage du SS1. La résine ne se travaille pas très bien au cutter ou au ponçage, elle n'est pas assez dur. Donc il faut être prudent, on l'attaque très vite. Il faut privilégier du grain fin, vite encrassé.





Les hublots sont d'abord centrés avec une pointe, puis percés en douceur avec une mèche fine (1 mm), puis une mèche moyenne (3mm) et enfin une fraise conique pile du bon diamètre. Le tout à la main évidemment, pour ne pas chauffer la résine. Ensuite on dégage les trappes de trains, pour mieux les reboucher ensuite. Le résultat est plutôt propre.





 Après peinture, l'application de Micro Kristal Klear permettra de reconstituer des hublots de façon assez convaincante, les hublots étant assez petits pour permettre cette technique.

Lors de ma viste au Air & Space Museum de Washington DC, j'avais pu prendre quelques photos du vrai, exposé à proximité du X1 et du Spirit of Saint Louis, à tout seigneur tout honneur. En tout cas ça faisait une belle brochette !



 Next step: Collage et finition du cockpit, puis collage des surfaces sur le SS1. Ca va être coton vu la qualité de la resine, et je vais sans doute renforcer avec de la corde à piano et du perçage fin dans les ailes et dans le fuselage. Et coté colle, ce sera de la bi-composants Araldite, pas de la Cyano.

dimanche 17 juillet 2011

Ferrari 365 LM - N° 4

Parce que il faut changer un peu de temps en temps, je me fais un petit plaisir avec des kits résine de Ferrari au 1/43, trouvés Ebay pour pouvoir rester dans des budgets  raisonnables.  Bon ce n'est pas de la SF... quoique j'ai récupéré une Alfa Romeo Concept car des années 50 qui relève de la SF....

Pour commencer donc, une 375 Le Mans, la N04 qui gagna en 1954, Equipage Gonzales - Trintignant (le père de l'acteur).  Le kit n'est pas absolument fidèlle, mais on est plus dans le plaisir de l'évocation que de l'exactitude historique. Mais on est pas loin du compte. Les photos m'ont permis de voir quelques points nécéssitant des petites retouches.

Le Kit est un kit MRF avec qques pièces manquantes. Assez agé, la résine a commencé à se déformer. Rien de dramatique. La finesse de gravure est bonne, les ajustages caisses - baquet - fond plutôt discutable. Enfin par rapport à l'Eagle c'est de la rigolade.

Les decals des Numéros sont maisons. Les attaches capots en métal découpé achetées chez  'miniatureauto', un vendeur de chez Ebay.





J'aime bien ces petits kits, ils sont très 'piqués'et sympa à construire. J'en ai un certain nombre sous le coude, mais ça c'est l'effet Le Mans, suite à une bonne journée le Samedi des 24:00. Donc l'idée c'est de faire des Ferrari ayant participé au Mans, voire gagné.

jeudi 14 juillet 2011

Eagle WarpModel - Conclusion

Le bestiau est terminé, et c'est une belle bête.  Enfin il est pas tout à fait terminé, il reste à mettre une couche de vernis mat (hors tuyeres et parties brillantes)

31 cm de long, plutôt lourd avec de la resine et du metal !
J'ai fais le choix d'une finition 'salie', pas un beau blanc pétant, considérant que cet Eagle a déjà pas mal bourlingué.









Au début il y avait ça :)






Et un eagle en mission juste posé sur une planète à la végétation étrange....

dimanche 10 juillet 2011

Jeux d'ordinateurs cultes

Je suis en train de ranger un peu le merdier que j'ai chez moi et retombe sur des choses interessantes, en particulier alors que le tout dernier vol de la navette se déroule au dessus de nos têtes

Shuttle , de Virgin Interactive.
Un simulateur, un vrai, un dur, de la navette spatiale. En temps réel, heureusement avec la possibilité de faire du temps x2 ou x4 ou plus je ne me souviens plus trop.

Check list authentique, plusieurs niveaux d'assistance jusqu'à un Full Manuel où la navette avait facheusement tendance à exploser sans même décoller.

En temps réel, le compte à rebours démarrait à -24.00 ....

Et ça tenait sur 2 disquettes 3,5 ".
Un vrai truc de geek...


N'empeche, sortir avec le MMU et s'éloigner de la navette en solo, ça faisait quelque chose.

Je ne sais pas quoi en faire. Le jeter, arg, impossible. Alors on garde....